Nos meilleurs conseils pour la pelouse – Vers blancs.
La pelouse….
Encore aujourd’hui, un beau tapis vert uniforme est le rêve de beaucoup de propriétaires. Mais peu d’entre eux connaissent ses besoins exacts et pour beaucoup, un beau gazon est aussi synonyme de combat perpétuel. Voici quelques conseils pour avoir une jolie pelouse bien verte tout en profitant de l’été.
On l’oublie trop souvent, la pelouse est, à la base, une graminée vivace. (Plusieurs variétés de graminées, pour être exact). Elle a donc des besoins que nous devons respecter pour qu’elle prospère.
D’abord, il est important de choisir la bonne variété de gazon. Certaines préfèrent le soleil, d’autres s’accommodent d’une exposition plus ombragée. Comme avec les plantes du jardin, installer « la bonne plante au bon endroit » nous évite bien des déconvenues. Et un gazon qui pousse bien est un gazon en santé, d’autant plus résistant aux insectes et aux maladies.
La bonne fertilisation au bon moment est aussi importante. La plante a des besoins accrus en azote au printemps et en potassium en automne. Il convient de ne pas se tromper!
On maintient les brins de gazon plutôt hauts lors du passage de la tondeuse. Une hauteur de 8 cm (3’’) est idéale. La pelouse sera plus résistante aux sécheresses estivales, plus saine et moins vulnérable à l’invasion de mauvaises herbes. Un bon aiguisage des lames est primordial ; l’objectif est de couper et non pas de déchirer le brin.
Tout cela est bel et bon, mais plusieurs ennemis guettent malgré tous nos tapis verts. Parmi eux, le satané ver blanc. Cette bestiole peu ragoûtante est la larve du hanneton, communément appelé barbeau.
En avril, elle commence à grignoter les racines de la pelouse. Un bon indice de sa présence est l’observation de trous sur son terrain, causés par les moufettes et les ratons-laveurs. Ce sont de gentils alliés qui dévorent gratuitement une bonne quantité de larves, mais certains propriétaires peuvent être embêtés par l’aspect un peu « champs de bataille » découvert au matin… Un gazon jauni qui se soulève en plaques, comme un tapis, est aussi un signal d’alarme qu’on ne doit pas ignorer.
Fin mai, la larve descend plus profondément dans le sol, rendant tout traitement totalement inefficace. La fertilisation azotée printanière est loin derrière nous, on s’abstient d’engraisser notre pelouse avec un engrais riche en nitrate qui ferait prospérer le feuillage au détriment des racines.
Fin juin, transformation ! L’adulte émerge du sol et se met en quête d’une séduisante demoiselle hanneton. De bonnes pratiques culturales sont encore une fois essentielles pour prévenir la prochaine infestation.
On maintient sa pelouse d’une bonne longueur et pourquoi ne pas laisser les rognures sur place ? On fertilise avec un engrais plus faible en azote.
Tout le mois de juillet, c’est la période de ponte. Pour éviter de transformer sa pelouse en pouponnière à vers blancs, on éteint les lumières extérieures en soirée pour ne pas attirer les femelles chez soi. On limite l’arrosage du gazon car la sécheresse du sol rend la ponte plus difficile et nuit à l’éclosion et au développement des larves.
Trois à quatre semaines plus tard, les petits naissent et se mettre à grignoter les racines. C’est le moment d’appliquer un insecticide contenant des nématodes.
Ces sympathiques vers joueront des mandibules jusqu’au mois d’octobre avant de s’enfouir plus profondément dans le sol pour l’hiver. Et c’est au printemps qu’ils referont surface pour notre plus grand malheur.
Mais maintenant, nous sommes armés pour leur faire face ! N’oublions pas que la présence de quelques vers blancs dans la pelouse est tout à fait naturelle. Un gazon en santé survivra facilement à quelques mordillements. Le secret est de développer de bonnes habitudes culturales et… un peu notre lâcher-prise !
La pyrale des prés est un petit papillon de couleur crème qui volète au dessus de notre gazon. C’est sa chenille qui cause de grands dégâts sur la pelouse en coupant les brins d’herbe à la base pour s’en nourrir. On remarque leur présence par l’apparition de plaques jaunes qui vont en s’agrandissant. Vers la
La plantation des bulbes d’automne et de l’ail comestible. Quoi de mieux pour chasser la déprime de l’hiver qu’une plate-bande bien fleurie dès le printemps? Grâce aux bulbes d’automne, il est possible d’avoir de belles fleurs rapidement! Mais encore faut-il savoir comment, où et quand les planter… Tous les bulbes préfèrent les sols bien drainés
Vos tomates sont déformées, pleines de crevasses et de boursouflures? Vous êtes en présence non pas d’une maladie, mais d’un simple désordre appelé catface, ou face de chat. Les variétés à gros fruits sont les plus sensibles à cette malformation. La raison? Les températures inférieures à 15° C pendant la floraison sont les plus grandes
Le gui, plante sous laquelle on s’embrasse au nouvel an, est un sous- arbrisseau sans racine qui parasite les arbres grâce à ses suçoirs qui lui permettent de prélever la sève de son hôte. Le gui poussant sur le chêne était le plus recherché par les druides gaulois parce que très rare. Sa couleur
Les vers blancs
Nos meilleurs conseils pour la pelouse – Vers blancs.
La pelouse….
Encore aujourd’hui, un beau tapis vert uniforme est le rêve de beaucoup de propriétaires. Mais peu d’entre eux connaissent ses besoins exacts et pour beaucoup, un beau gazon est aussi synonyme de combat perpétuel. Voici quelques conseils pour avoir une jolie pelouse bien verte tout en profitant de l’été.
On l’oublie trop souvent, la pelouse est, à la base, une graminée vivace. (Plusieurs variétés de graminées, pour être exact). Elle a donc des besoins que nous devons respecter pour qu’elle prospère.
D’abord, il est important de choisir la bonne variété de gazon. Certaines préfèrent le soleil, d’autres s’accommodent d’une exposition plus ombragée. Comme avec les plantes du jardin, installer « la bonne plante au bon endroit » nous évite bien des déconvenues. Et un gazon qui pousse bien est un gazon en santé, d’autant plus résistant aux insectes et aux maladies.
La bonne fertilisation au bon moment est aussi importante. La plante a des besoins accrus en azote au printemps et en potassium en automne. Il convient de ne pas se tromper!
On maintient les brins de gazon plutôt hauts lors du passage de la tondeuse. Une hauteur de 8 cm (3’’) est idéale. La pelouse sera plus résistante aux sécheresses estivales, plus saine et moins vulnérable à l’invasion de mauvaises herbes. Un bon aiguisage des lames est primordial ; l’objectif est de couper et non pas de déchirer le brin.
Tout cela est bel et bon, mais plusieurs ennemis guettent malgré tous nos tapis verts. Parmi eux, le satané ver blanc. Cette bestiole peu ragoûtante est la larve du hanneton, communément appelé barbeau.
En avril, elle commence à grignoter les racines de la pelouse. Un bon indice de sa présence est l’observation de trous sur son terrain, causés par les moufettes et les ratons-laveurs. Ce sont de gentils alliés qui dévorent gratuitement une bonne quantité de larves, mais certains propriétaires peuvent être embêtés par l’aspect un peu « champs de bataille » découvert au matin… Un gazon jauni qui se soulève en plaques, comme un tapis, est aussi un signal d’alarme qu’on ne doit pas ignorer.
Fin mai, la larve descend plus profondément dans le sol, rendant tout traitement totalement inefficace. La fertilisation azotée printanière est loin derrière nous, on s’abstient d’engraisser notre pelouse avec un engrais riche en nitrate qui ferait prospérer le feuillage au détriment des racines.
Fin juin, transformation ! L’adulte émerge du sol et se met en quête d’une séduisante demoiselle hanneton. De bonnes pratiques culturales sont encore une fois essentielles pour prévenir la prochaine infestation.
On maintient sa pelouse d’une bonne longueur et pourquoi ne pas laisser les rognures sur place ? On fertilise avec un engrais plus faible en azote.
Tout le mois de juillet, c’est la période de ponte. Pour éviter de transformer sa pelouse en pouponnière à vers blancs, on éteint les lumières extérieures en soirée pour ne pas attirer les femelles chez soi. On limite l’arrosage du gazon car la sécheresse du sol rend la ponte plus difficile et nuit à l’éclosion et au développement des larves.
Trois à quatre semaines plus tard, les petits naissent et se mettre à grignoter les racines. C’est le moment d’appliquer un insecticide contenant des nématodes.
Ces sympathiques vers joueront des mandibules jusqu’au mois d’octobre avant de s’enfouir plus profondément dans le sol pour l’hiver. Et c’est au printemps qu’ils referont surface pour notre plus grand malheur.
Mais maintenant, nous sommes armés pour leur faire face ! N’oublions pas que la présence de quelques vers blancs dans la pelouse est tout à fait naturelle. Un gazon en santé survivra facilement à quelques mordillements. Le secret est de développer de bonnes habitudes culturales et… un peu notre lâcher-prise !
Related Posts
La pyrale des prés
La pyrale des prés est un petit papillon de couleur crème qui volète au dessus de notre gazon. C’est sa chenille qui cause de grands dégâts sur la pelouse en coupant les brins d’herbe à la base pour s’en nourrir. On remarque leur présence par l’apparition de plaques jaunes qui vont en s’agrandissant. Vers la
Les bulbes d’automne
La plantation des bulbes d’automne et de l’ail comestible. Quoi de mieux pour chasser la déprime de l’hiver qu’une plate-bande bien fleurie dès le printemps? Grâce aux bulbes d’automne, il est possible d’avoir de belles fleurs rapidement! Mais encore faut-il savoir comment, où et quand les planter… Tous les bulbes préfèrent les sols bien drainés
La »face de chat » de la tomate.
Vos tomates sont déformées, pleines de crevasses et de boursouflures? Vous êtes en présence non pas d’une maladie, mais d’un simple désordre appelé catface, ou face de chat. Les variétés à gros fruits sont les plus sensibles à cette malformation. La raison? Les températures inférieures à 15° C pendant la floraison sont les plus grandes
Faits insolites, 4ème partie.
Le gui, plante sous laquelle on s’embrasse au nouvel an, est un sous- arbrisseau sans racine qui parasite les arbres grâce à ses suçoirs qui lui permettent de prélever la sève de son hôte. Le gui poussant sur le chêne était le plus recherché par les druides gaulois parce que très rare. Sa couleur