Les rosiers sont des plantes magnifiques mais à part quelques variétés rustiques (les rugosa, entre autres) plusieurs ravageurs peuvent rapidement leur faire la peau.
Les pucerons, petits insectes dodus noirs, verts ou roses se tiennent en groupes sur les nouvelles tiges et les boutons de fleurs. Ils laissent un miellat collant qui peut entraîner des maladies fongiques. De plus, ils sucent la sève de la plante sans relâche ce qui l’affaiblie. Les feuilles se recroquevillent, les fleurs se déforment et le rosier semble terne. Une forte présence (à encourager) de coccinelles et de leurs larves sont aussi un signal d’alarme. En effet, les coccinelles et leur progéniture dévorent une énorme quantité de pucerons.
Voir les différents stades de la coccinelle pour mieux la reconnaître.
Un savon insecticide et un fort jet d’eau permet de contrôler ce désagréable insecte.
La tenthrède du rosier
On la confond souvent avec une chenille, cette désagréable larve de la mouche à scie.
La tenthrède-limace est une larve visqueuse, en forme de têtard de quelque mm de long. À l’état jeune, elle est verte, transparente avec une petite tête brune. Elles broient les bourgeons des rosiers pour se nourrir de leur sève. De ce fait, les feuilles naissantes sont déformées.
La tenthrède squeletteuse ressemble aussi à une chenille verte. Elle se nourrit seulement du limbe de la feuille (sa partie verte) et laisse derrière elle le squelette de la feuille, qu’on voit en transparence.
Malheureusement, le BTK, efficace contre les chenilles, n’a aucun effet sur les tenthrèdes. On peut tailler les tiges déformées, enlever les fausses-chenilles à la main et les noyer dans une solution savonneuse ou vaporiser un savon insecticide.
Les abeilles découpeuses, ou mégachiles sont moins dommageables bien que leurs dégâts soient plus spectaculaires. Elles découpent des trous parfaitement ronds dans les feuilles et emportent le morceau ainsi découpé pour nourrir sa progéniture. Avec un peu de chance, vous la verrez à l’œuvre et s’envoler avec son butin. Les dommages de cette petite abeille sont plutôt esthétiques que vraiment dangereux pour la plante. À moins d’une infestation très importante, on laisse ces petites travailleuses en paix! Plus d’information sur les mégachiles ici.
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