La pyrale des prés est un petit papillon de couleur crème qui volète au dessus de notre gazon. C’est sa chenille qui cause de grands dégâts sur la pelouse en coupant les brins d’herbe à la base pour s’en nourrir. On remarque leur présence par l’apparition de plaques jaunes qui vont en s’agrandissant.
Vers la fin août ou début septembre, ces dommages peuvent être confondus avec les effets de la sécheresse mais il est facile de reconnaître l’oeuvre de la pyrale. En levant les plaques de gazon mort, il peut y avoir présence d’excréments verts, de filaments de soie et de particules de terre.
Le meilleur moment pour traiter est environ deux semaines après avoir observé les premiers papillons. Leurs larves commenceront à s’alimenter à ce moment et il sera facile de les détruire avec du BTK, une bactérie qui s’attaque à leur système digestif.
Si on attend trop, les chenilles atteindront le stade adulte et il deviendra ardu et plutôt inutile de les atteindre. De plus, les chenilles survivantes s’enfouiront dans le chaume et tomberont en dormance pour amorcer un autre cycle au printemps en se transformant elles-mêmes en papillons.
Comme il n’y a pas de moyens préventifs, pour éviter ou réduire les dommages causés par la pyrale, nous vous recommandons de bien entretenir votre gazon. Une application d’engrais au printemps, en été et en automne, une longueur de coupe de 7 à 8 cm, un sursemis, une aération, un terreautage au moins aux deux ans sont de bonnes habitudes à adopter pour conserver son gazon en santé, donc plus résistant aux attaques d’insectes.
Sphaigne, mousse de tourbe, « peat moss », mousse espagnole, de quoi en perdre son latin ! Démêlons un peu tout ça ! La sphaigne est une espèce de mousse qu’on cultive au Chili, dans des endroits à la forte pluviométrie. Elle est très utilisée pour la culture d’orchidées, de plantes carnivores et plantes épiphytes. Son PH est neutre,
Le byture du framboisier est beaucoup plus connu qu’on le pense. Eh oui, c’est sa larve blanchâtre qui gâche notre dégustation de framboises par sa seule présence dans le fruit. L’insecte adulte est un petit coléoptère gris et duveteux. Il surgit du sol au printemps après son hivernation, s’accouple et la femelle pond ses œufs
Vous avez remarqué de beaux trous bien ronds sur vos feuilles de rosiers ou autres feuilles lisses? C’est l’oeuvre de l’abeille découpeuse de feuille, un insecte peu connu qui fréquente nos jardins. Aucunement agressive, cette abeille solitaire n’attaque que lorsqu’elle se sent en danger et sa piqûre est presque indolore. De plus, ses dommages, bien
Les perce-oreilles Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les
La pyrale des prés
La pyrale des prés est un petit papillon de couleur crème qui volète au dessus de notre gazon. C’est sa chenille qui cause de grands dégâts sur la pelouse en coupant les brins d’herbe à la base pour s’en nourrir. On remarque leur présence par l’apparition de plaques jaunes qui vont en s’agrandissant.
Vers la fin août ou début septembre, ces dommages peuvent être confondus avec les effets de la sécheresse mais il est facile de reconnaître l’oeuvre de la pyrale. En levant les plaques de gazon mort, il peut y avoir présence d’excréments verts, de filaments de soie et de particules de terre.
Le meilleur moment pour traiter est environ deux semaines après avoir observé les premiers papillons. Leurs larves commenceront à s’alimenter à ce moment et il sera facile de les détruire avec du BTK, une bactérie qui s’attaque à leur système digestif.
Si on attend trop, les chenilles atteindront le stade adulte et il deviendra ardu et plutôt inutile de les atteindre. De plus, les chenilles survivantes s’enfouiront dans le chaume et tomberont en dormance pour amorcer un autre cycle au printemps en se transformant elles-mêmes en papillons.
Comme il n’y a pas de moyens préventifs, pour éviter ou réduire les dommages causés par la pyrale, nous vous recommandons de bien entretenir votre gazon. Une application d’engrais au printemps, en été et en automne, une longueur de coupe de 7 à 8 cm, un sursemis, une aération, un terreautage au moins aux deux ans sont de bonnes habitudes à adopter pour conserver son gazon en santé, donc plus résistant aux attaques d’insectes.
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Sphaigne, mousse de tourbe, « peat moss », mousse espagnole, de quoi en perdre son latin ! Démêlons un peu tout ça ! La sphaigne est une espèce de mousse qu’on cultive au Chili, dans des endroits à la forte pluviométrie. Elle est très utilisée pour la culture d’orchidées, de plantes carnivores et plantes épiphytes. Son PH est neutre,
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Le byture du framboisier est beaucoup plus connu qu’on le pense. Eh oui, c’est sa larve blanchâtre qui gâche notre dégustation de framboises par sa seule présence dans le fruit. L’insecte adulte est un petit coléoptère gris et duveteux. Il surgit du sol au printemps après son hivernation, s’accouple et la femelle pond ses œufs
Les abeilles coupeuses de feuilles
Vous avez remarqué de beaux trous bien ronds sur vos feuilles de rosiers ou autres feuilles lisses? C’est l’oeuvre de l’abeille découpeuse de feuille, un insecte peu connu qui fréquente nos jardins. Aucunement agressive, cette abeille solitaire n’attaque que lorsqu’elle se sent en danger et sa piqûre est presque indolore. De plus, ses dommages, bien
Les perce-oreilles
Les perce-oreilles Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les