Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade.
Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs.
On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment. Petite, poilue et colorée, on aurait presque envie de la caresser. Mais qui s’y frotte s’y pique, elle est parsemée de poils urticants.
À part ce détail, l’arctiide est sans danger, ni pour l’homme ni pour les plantes environnantes, ni pour les plants d’asclépiades qui repousseront aussi vigoureusement l’année suivante. Donc aucun traitement n’est nécessaire. On se contente de l’observer… de loin!
La pourriture apicale de la tomate Vos tomates présentent d’étranges taches noires à leur extrémités? Pas de panique! Vous avez affaire à la pourriture apicale, une nécrose due à une carence en calcium, ou un problème d’assimilation du calcium présent. Ce que ça veut dire? Peut-être que la terre s’est trop asséchée entre deux arrosages,
Mise en garde (Les renseignements contenus dans cette fiche sont donnés à titre indicatif seulement. Ils ne peuvent en aucun cas remplacer l’information fournie sur l’étiquette d’un produit.) Le gluten de maïs a été breveté en 1991 en tant qu’engrais naturel pro-environnemental afin de contrôler les mauvaises herbes. Depuis, vous pouvez le retrouver dans
Les fêtes de Noël arrivent à pas de géant, les cadeaux brilleront de mille feux sous le sapin. La joie de voir nos proches déballer avec enthousiasme leurs présents est toutefois ternie par tous ces morceaux de papier déchiré qui prendront la route de la poubelle ou, un petit peu mieux, celle du bac à
Les phytoptes sont de petits acariens gallicoles dont on voit les dommages en début d’été, souvent sur les feuilles d’érables. On les appelle phytoptes vésiculaires de l’érable et on les reconnaît aux galles allongées sur ou dessous les feuilles d’érables. Les adultes hivernent sur le tronc de l’arbre et s’alimentent sur les bourgeons. Leurs piqures
L’arctiide de l’asclépiade
Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade.
Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs.
On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment. Petite, poilue et colorée, on aurait presque envie de la caresser. Mais qui s’y frotte s’y pique, elle est parsemée de poils urticants.
À part ce détail, l’arctiide est sans danger, ni pour l’homme ni pour les plantes environnantes, ni pour les plants d’asclépiades qui repousseront aussi vigoureusement l’année suivante. Donc aucun traitement n’est nécessaire. On se contente de l’observer… de loin!
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Les phytoptes, plus de peur que de mal
Les phytoptes sont de petits acariens gallicoles dont on voit les dommages en début d’été, souvent sur les feuilles d’érables. On les appelle phytoptes vésiculaires de l’érable et on les reconnaît aux galles allongées sur ou dessous les feuilles d’érables. Les adultes hivernent sur le tronc de l’arbre et s’alimentent sur les bourgeons. Leurs piqures