Arbre de Noël naturel ou artificiel ? L’impact écologique ?
Quelle merveilleuse coutume que de décorer un sapin en famille ! Quel bel ornement dans nos maisons, porteur de joie et d’émerveillement… et d’un certain pincement au cœur lorsqu’on réfléchi aux conséquences d’une telle décoration ! Nous avons étudié pour vous l’impact environnemental de ce roi des fêtes, en espérant que ces quelques informations vous permettront de faire un choix éclairé, c’est le cas de le dire, quand vous choisirez votre nouvel arbre de Noël.
Abordons d’abord le sapin naturel. Il y a longtemps que la cueillette de sapins ne se fait plus en pleine forêt, à quelques exceptions près. Les arbres que nous achetons proviennent tous de fermes de culture. Chaque sapin coupé est remplacé par une jeune pousse. Pousse qui produit de l’oxygène et absorbe les émissions de CO2 au cours de sa croissance. La récolte du sapin est donc comparable à celle de la citrouille ou du sarrasin, renouvelable à l’infini !
De plus, le sapin naturel, s’il est disposé convenablement, est compostable et recyclable dans la plupart des municipalités. Beaucoup de bons points pour lui. Petit bémol, si on brûle notre sapin dans la cheminée, on retournera à la nature environ 3 kg de CO2 qu’il a contribué de son vivant à capturer. On évite donc.
L’arbre artificiel pour sa part a une position plus difficile à défendre. Fabriqué à base de produits pétroliers, il est vendu dans de grandes boîtes de carton, souvent elles-mêmes emballées de plastique, il a parcouru des milliers de kilomètres pour se rendre jusqu’à nous et est difficilement recyclable. Plusieurs études (celle de l’équipe de recherche Ellipsos, entre autre) ont démontré que l’arbre artificiel devrait être utilisé pendant au moins 20 ans pour que son empreinte écologique soit équivalente à celle du sapin naturel.
Alors, naturel ? Artificiel ? Nous vous laissons le choix, plusieurs facteurs entrent en ligne de compte. Vous préférez un sapin artificiel mais avez l’habitude de compostez tous vos végétaux, marchez au lieu d’utiliser la voiture ? Peut-être que votre impact final est moindre que celui qui jette tout à la poubelle mais préfère un arbre naturel ?
En vingt ans, la population des papillons monarques est passée de 500 millions à moins de 30 millions d’individus dans les boisés du Mexiques où ils hivernent. Bien que la déforestation illégale de leur habitat soit une des causes de cette hécatombe, la disparition progressive de l’asclépiade dans leur aire de reproduction est l’une
Les rosiers sont des plantes magnifiques mais à part quelques variétés rustiques (les rugosa, entre autres) plusieurs ravageurs peuvent rapidement leur faire la peau. Les pucerons, petits insectes dodus noirs, verts ou roses se tiennent en groupes sur les nouvelles tiges et les boutons de fleurs. Ils laissent un miellat collant qui peut entraîner des
Les syrphes font partie de ces insectes utiles méconnus du jardin. Souvent confondus avec les guêpes ou les abeilles dont ils se sont emparé les couleurs, le syrphe n’est qu’une mouche déguisée en insecte piqueur pour décourager les prédateurs. Plusieurs indices nous permettent de le reconnaître. Physiquement, il est facilement identifiable, ne possédant pas la
Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin. On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres.
Sapin de Noël, naturel ou artificiel?
Arbre de Noël naturel ou artificiel ? L’impact écologique ?
Quelle merveilleuse coutume que de décorer un sapin en famille ! Quel bel ornement dans nos maisons, porteur de joie et d’émerveillement… et d’un certain pincement au cœur lorsqu’on réfléchi aux conséquences d’une telle décoration ! Nous avons étudié pour vous l’impact environnemental de ce roi des fêtes, en espérant que ces quelques informations vous permettront de faire un choix éclairé, c’est le cas de le dire, quand vous choisirez votre nouvel arbre de Noël.
Abordons d’abord le sapin naturel. Il y a longtemps que la cueillette de sapins ne se fait plus en pleine forêt, à quelques exceptions près. Les arbres que nous achetons proviennent tous de fermes de culture. Chaque sapin coupé est remplacé par une jeune pousse. Pousse qui produit de l’oxygène et absorbe les émissions de CO2 au cours de sa croissance. La récolte du sapin est donc comparable à celle de la citrouille ou du sarrasin, renouvelable à l’infini !
De plus, le sapin naturel, s’il est disposé convenablement, est compostable et recyclable dans la plupart des municipalités. Beaucoup de bons points pour lui. Petit bémol, si on brûle notre sapin dans la cheminée, on retournera à la nature environ 3 kg de CO2 qu’il a contribué de son vivant à capturer. On évite donc.
L’arbre artificiel pour sa part a une position plus difficile à défendre. Fabriqué à base de produits pétroliers, il est vendu dans de grandes boîtes de carton, souvent elles-mêmes emballées de plastique, il a parcouru des milliers de kilomètres pour se rendre jusqu’à nous et est difficilement recyclable. Plusieurs études (celle de l’équipe de recherche Ellipsos, entre autre) ont démontré que l’arbre artificiel devrait être utilisé pendant au moins 20 ans pour que son empreinte écologique soit équivalente à celle du sapin naturel.
Alors, naturel ? Artificiel ? Nous vous laissons le choix, plusieurs facteurs entrent en ligne de compte. Vous préférez un sapin artificiel mais avez l’habitude de compostez tous vos végétaux, marchez au lieu d’utiliser la voiture ? Peut-être que votre impact final est moindre que celui qui jette tout à la poubelle mais préfère un arbre naturel ?
Tout est relatif, au fond !
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