Les fourmis sont bien connues des jardiniers, ainsi que les petits monticules qu’elles laissent sur les pelouses, les terrasses ou les jardins potagers.
Beaucoup de gens veulent s’en débarrasser à tout prix, souvent sans trop savoir pourquoi ils mènent cette lutte acharnée.
Doit-on les éliminer ou les traiter en amies?
(Nous ne parlerons pas des fourmis charpentières, on comprend facilement qu’on veuille s’en débarrasser)
Les fourmis sont de bons décomposeurs
Il n’est pas rare de voir une fourmis transporter le cadavre d’un autre insectes. Sans elles, nous serions ensevelis sous les déchets organiques. Ce sont de valeureuses vidangeuses!
Les fourmis mangent des insectes et servent de pâture à d’autres animaux
Les fourmis mangent beaucoup d’œufs et de larves d’autres insectes, souvent des ravageurs. De ce fait, elles régularisent les populations d’insectes nuisibles. Elles protègent aussi certains arbres des parasites.
Plusieurs oiseaux insectivores comme les pic-bois se nourrissent de fourmis. Les ours et les chauve-souris sont aussi friands des larves et des adultes.
Elles aérent les sols
En creusant des galeries, les fourmis aèrent le sols compacts, favorisent l’enracinement des plantes et améliorent le drainage des sols lourds.
Système d’alarme
Une grande population de fourmis peut être signe d’une infestation de pucerons ou d’une maladie (sur les arbres notamment) Une bonne observation nous permettra de régler le problème avant le point de non-retour
Et les pivoines, elles?
Les boutons de pivoines sont un des endroits préférés des fourmis. Ne vous inquiétez pas, elles ne font aucun dégât. Elles sont simplement attirées par le miellat collant qui recouvre les futures fleurs. Elles sont alors aux premières lignes si un insectes nuisible se pointe!
Globalement, les fourmis nous rendent de grands services. Il suffit de connaître les limites de notre reconnaissance!
L’hiver, avec sa neige et son verglas, a été cruel pour nos arbres. Beaucoup d’entre nous avons eu de mauvaises surprises au moment d’inspecter nos végétaux au printemps. On découvre plusieurs branches cassées… Doit-on s’inquiéter ? Si la branche tient encore à l’arbre grâce à son écorce, il est possible de refermer la blessure en l’attachant
Les phytoptes sont de petits acariens gallicoles dont on voit les dommages en début d’été, souvent sur les feuilles d’érables. On les appelle phytoptes vésiculaires de l’érable et on les reconnaît aux galles allongées sur ou dessous les feuilles d’érables. Les adultes hivernent sur le tronc de l’arbre et s’alimentent sur les bourgeons. Leurs piqures
Les feuilles de votre viorne étaient très belles et le lendemain, il ne reste plus rien, que les nervures( avec un peu de chance!) Vous êtes victime de la galéruque de la viorne. Ce petit coléoptère s’attaque aux feuilles de plusieurs variétés de viornes. Les larves, qui ressemblent à de courtes chenilles jaune et noir
Depuis 1941, le développement durable s’est toujours inscrit de façon naturelle dans les faits et gestes de la Ferme Bédard et Blouin. Depuis trois générations, nous améliorons nos pratiques et connaissances afin de constamment réduire notre impact sur l’environnement, tout en prenant soin d’accroître notre impact social. Que ce soit par la protection des terres
Les fourmis, amies ou ennemies?
Les fourmis sont bien connues des jardiniers, ainsi que les petits monticules qu’elles laissent sur les pelouses, les terrasses ou les jardins potagers.
Beaucoup de gens veulent s’en débarrasser à tout prix, souvent sans trop savoir pourquoi ils mènent cette lutte acharnée.
Doit-on les éliminer ou les traiter en amies?
(Nous ne parlerons pas des fourmis charpentières, on comprend facilement qu’on veuille s’en débarrasser)
Les fourmis sont de bons décomposeurs
Il n’est pas rare de voir une fourmis transporter le cadavre d’un autre insectes. Sans elles, nous serions ensevelis sous les déchets organiques. Ce sont de valeureuses vidangeuses!
Les fourmis mangent des insectes et servent de pâture à d’autres animaux
Les fourmis mangent beaucoup d’œufs et de larves d’autres insectes, souvent des ravageurs. De ce fait, elles régularisent les populations d’insectes nuisibles. Elles protègent aussi certains arbres des parasites.
Plusieurs oiseaux insectivores comme les pic-bois se nourrissent de fourmis. Les ours et les chauve-souris sont aussi friands des larves et des adultes.
Elles aérent les sols
En creusant des galeries, les fourmis aèrent le sols compacts, favorisent l’enracinement des plantes et améliorent le drainage des sols lourds.
Système d’alarme
Une grande population de fourmis peut être signe d’une infestation de pucerons ou d’une maladie (sur les arbres notamment) Une bonne observation nous permettra de régler le problème avant le point de non-retour
Et les pivoines, elles?
Les boutons de pivoines sont un des endroits préférés des fourmis. Ne vous inquiétez pas, elles ne font aucun dégât. Elles sont simplement attirées par le miellat collant qui recouvre les futures fleurs. Elles sont alors aux premières lignes si un insectes nuisible se pointe!
Globalement, les fourmis nous rendent de grands services. Il suffit de connaître les limites de notre reconnaissance!
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Branches cassées, pas de panique!
L’hiver, avec sa neige et son verglas, a été cruel pour nos arbres. Beaucoup d’entre nous avons eu de mauvaises surprises au moment d’inspecter nos végétaux au printemps. On découvre plusieurs branches cassées… Doit-on s’inquiéter ? Si la branche tient encore à l’arbre grâce à son écorce, il est possible de refermer la blessure en l’attachant
Les phytoptes, plus de peur que de mal
Les phytoptes sont de petits acariens gallicoles dont on voit les dommages en début d’été, souvent sur les feuilles d’érables. On les appelle phytoptes vésiculaires de l’érable et on les reconnaît aux galles allongées sur ou dessous les feuilles d’érables. Les adultes hivernent sur le tronc de l’arbre et s’alimentent sur les bourgeons. Leurs piqures
La galéruque de la viorne
Les feuilles de votre viorne étaient très belles et le lendemain, il ne reste plus rien, que les nervures( avec un peu de chance!) Vous êtes victime de la galéruque de la viorne. Ce petit coléoptère s’attaque aux feuilles de plusieurs variétés de viornes. Les larves, qui ressemblent à de courtes chenilles jaune et noir
La Ferme Bédard et Blouin s’engage pour la planète et sa communauté
Depuis 1941, le développement durable s’est toujours inscrit de façon naturelle dans les faits et gestes de la Ferme Bédard et Blouin. Depuis trois générations, nous améliorons nos pratiques et connaissances afin de constamment réduire notre impact sur l’environnement, tout en prenant soin d’accroître notre impact social. Que ce soit par la protection des terres