L’hiver, avec sa neige et son verglas, a été cruel pour nos arbres. Beaucoup d’entre nous avons eu de mauvaises surprises au moment d’inspecter nos végétaux au printemps. On découvre plusieurs branches cassées… Doit-on s’inquiéter ?
Si la branche tient encore à l’arbre grâce à son écorce, il est possible de refermer la blessure en l’attachant solidement avec un matériau non irritant. (pas de fil de fer, cela abîmera encore plus la branche) Nous suggérons un morceau d’étoffe, du velcro double-face vendu dans les centres-jardin, de vieux bas de nylon, etc) L’écorce étant intacte, la sève continuera à circuler et la branche se ressoudera lentement, comme lorsqu’on pratique une greffe.
Si la branche est complètement arrachée avec un morceau d’écorce, on égalise la surface de l’écorce restante avec un couteau bien aiguisé de façon à ne laisser que l’écorce saine. Elle reprendra le dessus et un cal cicatriciel recouvrira la blessure.
Le tronc lui-même est fendu ? On prend notre courage à deux mains et on visse les deux parties ensemble. Il sera peut-être préférable à ce moment-là d’appeler un arboriculteur.
Une branche est simplement cassée ? Bonne nouvelle, c’est un moindre mal. On coupe seulement cette branche à sa base en prenant soin de ne pas laisser de chicot (une partie restante de la branche taillée trop loin du tronc). On tâche de ne pas faire une taille trop rase non plus, pour ne pas abîmer l’écorce.
On ne suggère pas d’utiliser de pâte d’élagage. Celle-ci, imperméable, risque d’emprisonner l’humidité du bois et favoriser le développement de maladies fongiques.
Une fois les réparations effectuées, votre arbre se régénérera seul. Votre boulot sera d’observer l’apparition d’insectes, de champignons, de chancres ou de liquides suintant de la blessure. Si un problème survient, vous pourrez traiter rapidement.
La présence d’insectes ravageurs ou de maladies sur vos plantes, légumes, arbres ou arbustes peut être fatale pour ces végétaux. Il est donc essentiel de prévenir les maladies et de gérer adéquatement la présence d’insectes nuisibles dans votre jardin. Voici donc quelques conseils vous permettant d’éliminer de façon biologique les insectes (lutte biologique) et les
Mise en garde (Les renseignements contenus dans cette fiche sont donnés à titre indicatif seulement. Ils ne peuvent en aucun cas remplacer l’information fournie sur l’étiquette d’un produit.) Le gluten de maïs a été breveté en 1991 en tant qu’engrais naturel pro-environnemental afin de contrôler les mauvaises herbes. Depuis, vous pouvez le retrouver dans
Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade. Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs. On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment.
Les perce-oreilles Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les
Branches cassées, pas de panique!
L’hiver, avec sa neige et son verglas, a été cruel pour nos arbres. Beaucoup d’entre nous avons eu de mauvaises surprises au moment d’inspecter nos végétaux au printemps. On découvre plusieurs branches cassées… Doit-on s’inquiéter ?
Si la branche tient encore à l’arbre grâce à son écorce, il est possible de refermer la blessure en l’attachant solidement avec un matériau non irritant. (pas de fil de fer, cela abîmera encore plus la branche) Nous suggérons un morceau d’étoffe, du velcro double-face vendu dans les centres-jardin, de vieux bas de nylon, etc) L’écorce étant intacte, la sève continuera à circuler et la branche se ressoudera lentement, comme lorsqu’on pratique une greffe.
Si la branche est complètement arrachée avec un morceau d’écorce, on égalise la surface de l’écorce restante avec un couteau bien aiguisé de façon à ne laisser que l’écorce saine. Elle reprendra le dessus et un cal cicatriciel recouvrira la blessure.
Le tronc lui-même est fendu ? On prend notre courage à deux mains et on visse les deux parties ensemble. Il sera peut-être préférable à ce moment-là d’appeler un arboriculteur.
Une branche est simplement cassée ? Bonne nouvelle, c’est un moindre mal. On coupe seulement cette branche à sa base en prenant soin de ne pas laisser de chicot (une partie restante de la branche taillée trop loin du tronc). On tâche de ne pas faire une taille trop rase non plus, pour ne pas abîmer l’écorce.
On ne suggère pas d’utiliser de pâte d’élagage. Celle-ci, imperméable, risque d’emprisonner l’humidité du bois et favoriser le développement de maladies fongiques.
Une fois les réparations effectuées, votre arbre se régénérera seul. Votre boulot sera d’observer l’apparition d’insectes, de champignons, de chancres ou de liquides suintant de la blessure. Si un problème survient, vous pourrez traiter rapidement.
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Mise en garde (Les renseignements contenus dans cette fiche sont donnés à titre indicatif seulement. Ils ne peuvent en aucun cas remplacer l’information fournie sur l’étiquette d’un produit.) Le gluten de maïs a été breveté en 1991 en tant qu’engrais naturel pro-environnemental afin de contrôler les mauvaises herbes. Depuis, vous pouvez le retrouver dans
L’arctiide de l’asclépiade
Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade. Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs. On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment.
Les perce-oreilles
Les perce-oreilles Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les