Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les vergers en Europe!
Il est vrai que lorsqu’ils ne trouvent plus rien à se mettre sous la dent, il leur arrive de s’attaquer aux pétales de fleurs, notamment des marguerites, dahlias et rosiers. Accidentellement, ils se réfugient parfois dans nos maisons car ils préfèrent les endroits ombragés, mais c’est bien malgré eux car ils n’y trouveront rien à manger et risqueront de mourir de faim.
L’un dans l’autre, tant que sa population est raisonnable, le perce-oreilles reste un précieux allié. Même si on doit lui sacrifier quelques pousses tendres, ses services rendus valent bien les légers désagréments encourus!
Une question qui nous est souvent posée: Quand taille -t-on les vivaces, en automne? La réponse est très simple! On ne taille pas! Et ce pour plusieurs raisons: D’abord, les tiges séchées forment un merveilleux attrape-neige, connue comme excellent isolant pour les plantes. Et imaginez qu’il y ait un grand froid avant la neige! Vos
Dahlias, glaïeuls et cannas vous ont comblés de leurs fleurs tout l’été et vous voudriez les conserver pour l’an prochain? En suivant ces quelques étapes simples, vous réussirez sans peine à stocker leurs racines tubéreuses ou leur cormes jusqu’à l’an prochain. En plus d’être une façon économique de garnir votre jardin, cette technique vous permettra
Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade. Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs. On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment.
Voici un guide conçu par Équiterre pour donner des trucs et des conseils en horticulture écologique. Le guide traite de: bonnes méthodes à employer pour une pelouse plus écolo; comment gérer les insectes importuns au jardin.
Les perce-oreilles
Les perce-oreilles
Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les vergers en Europe!
Il est vrai que lorsqu’ils ne trouvent plus rien à se mettre sous la dent, il leur arrive de s’attaquer aux pétales de fleurs, notamment des marguerites, dahlias et rosiers. Accidentellement, ils se réfugient parfois dans nos maisons car ils préfèrent les endroits ombragés, mais c’est bien malgré eux car ils n’y trouveront rien à manger et risqueront de mourir de faim.
L’un dans l’autre, tant que sa population est raisonnable, le perce-oreilles reste un précieux allié. Même si on doit lui sacrifier quelques pousses tendres, ses services rendus valent bien les légers désagréments encourus!
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