Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade.
Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs.
On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment. Petite, poilue et colorée, on aurait presque envie de la caresser. Mais qui s’y frotte s’y pique, elle est parsemée de poils urticants.
À part ce détail, l’arctiide est sans danger, ni pour l’homme ni pour les plantes environnantes, ni pour les plants d’asclépiades qui repousseront aussi vigoureusement l’année suivante. Donc aucun traitement n’est nécessaire. On se contente de l’observer… de loin!
Depuis quelques temps, plusieurs clients nous apportent des branches d’hydrangées liées à leur extrémité par un drôle de cocon. C’est l’œuvre de la lieuse de l’hydrangée, une petite chenille vert-pâle à tête noire. Ses œufs hivernent sur les branches de l’arbuste et devenue chenille, elle se tisse un abri en liant ensemble les pousses terminales.
Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin. On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres.
Voici quelques conseils de Marie-Hélène, horticultrice chez nous : Les poivrons sont des plantes qui ont besoin de beaucoup de chaleur pour se développer, ce qui est parfois plus difficile à obtenir au Québec. Nous avons une solution pour vous: cultiver vos plants de poivrons en pot! C’est encore mieux si vous avez des pots
C’est une habitude qui a la vie dure. On entend souvent qu’il faut enlever quelques feuilles des plants de tomates pour permettre aux fruits de mûrir plus vite. Pourtant, c’est une des pires pratiques pour ces pauvre tomates. En exposant les tomates aux rayons directs du soleil, on risque une insolation du fruit (lésion blanchâtre
L’arctiide de l’asclépiade
Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade.
Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs.
On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment. Petite, poilue et colorée, on aurait presque envie de la caresser. Mais qui s’y frotte s’y pique, elle est parsemée de poils urticants.
À part ce détail, l’arctiide est sans danger, ni pour l’homme ni pour les plantes environnantes, ni pour les plants d’asclépiades qui repousseront aussi vigoureusement l’année suivante. Donc aucun traitement n’est nécessaire. On se contente de l’observer… de loin!
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La lieuse de l’hydrangée
Depuis quelques temps, plusieurs clients nous apportent des branches d’hydrangées liées à leur extrémité par un drôle de cocon. C’est l’œuvre de la lieuse de l’hydrangée, une petite chenille vert-pâle à tête noire. Ses œufs hivernent sur les branches de l’arbuste et devenue chenille, elle se tisse un abri en liant ensemble les pousses terminales.
Les cloportes
Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin. On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres.
Des poivrons qui mûrissent pour vrai!
Voici quelques conseils de Marie-Hélène, horticultrice chez nous : Les poivrons sont des plantes qui ont besoin de beaucoup de chaleur pour se développer, ce qui est parfois plus difficile à obtenir au Québec. Nous avons une solution pour vous: cultiver vos plants de poivrons en pot! C’est encore mieux si vous avez des pots
Pourquoi ne faut -il pas effeuiller nos plants de tomates?
C’est une habitude qui a la vie dure. On entend souvent qu’il faut enlever quelques feuilles des plants de tomates pour permettre aux fruits de mûrir plus vite. Pourtant, c’est une des pires pratiques pour ces pauvre tomates. En exposant les tomates aux rayons directs du soleil, on risque une insolation du fruit (lésion blanchâtre