Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade.
Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs.
On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment. Petite, poilue et colorée, on aurait presque envie de la caresser. Mais qui s’y frotte s’y pique, elle est parsemée de poils urticants.
À part ce détail, l’arctiide est sans danger, ni pour l’homme ni pour les plantes environnantes, ni pour les plants d’asclépiades qui repousseront aussi vigoureusement l’année suivante. Donc aucun traitement n’est nécessaire. On se contente de l’observer… de loin!
Vos tomates sont déformées, pleines de crevasses et de boursouflures? Vous êtes en présence non pas d’une maladie, mais d’un simple désordre appelé catface, ou face de chat. Les variétés à gros fruits sont les plus sensibles à cette malformation. La raison? Les températures inférieures à 15° C pendant la floraison sont les plus grandes
Les syrphes font partie de ces insectes utiles méconnus du jardin. Souvent confondus avec les guêpes ou les abeilles dont ils se sont emparé les couleurs, le syrphe n’est qu’une mouche déguisée en insecte piqueur pour décourager les prédateurs. Plusieurs indices nous permettent de le reconnaître. Physiquement, il est facilement identifiable, ne possédant pas la
Les perce-oreilles Bien que plusieurs d’entre nous trouvent leur aspect répugnant, les perce-oreilles sont plutôt de bons amis du jardinier. Ce sont des insectes qui se nourrissent, entre autre, de matière en décomposition, d’œufs, de larves d’insectes nuisibles, d’acariens, de cochenilles, de limaces et de chenilles. On les utilise même en lutte intégrée dans les
Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin. On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres.
L’arctiide de l’asclépiade
Tout le monde connaît et reconnaît la chenille du monarque, qui se nourrit uniquement des feuilles de l’asclépiade.
Mais connaissez-vous l’arctiide de l’asclépiade? Cette petite chenille grégaire peut défolier un plant en quelques jours à l’aide de ses nombreuses sœurs.
On retrouve l’arctiide en fin d’été, logée sous les feuilles des asclépiades qu’elle dévore goulûment. Petite, poilue et colorée, on aurait presque envie de la caresser. Mais qui s’y frotte s’y pique, elle est parsemée de poils urticants.
À part ce détail, l’arctiide est sans danger, ni pour l’homme ni pour les plantes environnantes, ni pour les plants d’asclépiades qui repousseront aussi vigoureusement l’année suivante. Donc aucun traitement n’est nécessaire. On se contente de l’observer… de loin!
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La »face de chat » de la tomate.
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Le syrphe
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Les cloportes
Étrange bestiole que ce cloporte. Seul crustacé vivant sur la terre, il sème la terreur où qu’il aille. Pourtant, sous son aspect rébarbatif, le cloporte cache un coeur d’or et ne rend que des services au jardin. On le retrouve souvent sous les pots ou les feuilles car il préfère les endroits humides et sombres.